samedi 27 novembre 2010

-. Ditez aux gens que vous aimez...

envoyé par bellecourse
J'interromps temporairement ce blog pour des raisons personnelles.
Je sais depuis longtemps, épreuves obligent,qu'il faut dire aux gens qu'on aime qu'on les aime, mais pour ceux qui ne l'ont pas fait, qu'ils le fassent, c'est très important!
Façile à faire... comme dit Francis Cabrel, et c'est vrai.
J'ai des gens proches qui ne sont pas bien du tout, très malades, alors je prends juste une petite pause ici

A bientôt! hebergeur d'image

dimanche 21 novembre 2010

5. Tango détente...

Pour rigoler un peu...
J'adore le tango argentin mais c'est vrai que parfois l'athmosphère est trop... grave !
Voilà une satyre des milongas, ils sont vraiment très doués tous les deux..à remarquer qu'il y à tout ce qu'il ne faut pas faire en dansant le tango! hebergeur d'image



envoyé par tangoteatro



samedi 13 novembre 2010

4. Atteinte aux libertés, ça continue : La mort de la phytotherapie


"ALLEZ-VOUS LAISSER FAIRE CA ?

LES PLANTES MEDICINALES SERONT BIENTOT INTERDITES DANS L'UE

Le 1er avril 2011, pratiquement toutes les plantes médicinales seront illégales

dans l'Union Européenne.
Et ce ne sera pas un poisson d'Avril ! "




" Ainsi, les aliments et les médecines traditionnelles seront considérées comme des questions commerciales plutôt que comme une question de droits de l'homme "


On est entrain de nous supprimer tout ce qui est bon pour notre santé et vouloir nous imposer tout ce qui est mauvais ou qui à des effets secondaires dévastateurs pour notre santé : Je l'affirme..

Les lobbies pharmaceutiques s'en donnent à coeur joie!


Après l'échec de la campagne de vaccination, campagne activement dénonçée ici, c'est maintenant la guerre déclarée aux plantes!
On veut également nous imposer aussi une façon de manger!

" .... il faut savoir que les lois du commerce ont été au centre des intiatives visant à mettre tous les aspects de l'alimentation et de la médecine sous le contrôle de l'industrie pharmaceutique et de l'agrobusiness "



Il y aurait des tonnes de témoignages, dont le mien ou plutôt les miens :

Effets secondaires très nocifs pour la santé de certains médicaments allopathiques : Entre autre, un jour, j'en ai refusé un, le médecin rechignait, puis comme je lui ai dit que je ne le prendrais plus, me l'à suprimé, et ce médicament à été retiré du marché par la suite!!!!

Pour des maladies infectieuses à répétition que j'avais, un jour j'en ai eu marre, sur les conseils d'un naturopathe, j'ai arrêté les antibiotiques que je prenais à répetition, pour me soigner par une plante : J'ai guéri et cette infection n'est plus jamais revenue!!! Mon système immunitaire à été renforcé par cette plante, contrairement aux anti-biotiques et terminé!

Je suis entrain de me désintoxiquer, de ma propre décision, d'un médicament allopathique que je prends depuis des années, trop facilement prescrit (vous pensez...! ) c'est long, mais j'y arrive!

Et ce n'est pas finit : Même pour des maladies importantes, combien de médicaments allopathiques sont inutiles! Dont on peut très bien se passer!! Vous n'imaginez pas!

Et je pourrait raconter trois anecdotes, avec témoins à l'appui, pour démontrer le busisness scandaleux de la médecine souvent et de la chirurgie! Des choses ahurissantes!


Pour la phytothérapie :

QUE FAIRE ? AGIR !


" Envoyer une lettre ou un mail à votre Membre du Parlement Européen

(consultez internet pour le contacter).

Déclarez dans cette lettre que vous soutenez fortement l'action de l'ANH

( Alliance fot Naturel Health, International)

pour stopper la mise en application de la THMPD

et que vous esperez qu'il va en prendre position ".

http://libertesconquises.blogspot.com/


Et parlez-en autour de vous!

Mais ce n'est qu'un début...A suivre...

Tout ce qui est entre guillemets : Extrait article " La mort de la phyto à été signée " Michel Dogna (lien sur le côté)



hebergeur d'image

dimanche 7 novembre 2010

3. Morts à cette vie, vivants dans l'au-delà : Fin

Monique Simonet est en France

la pionnière des enregistrements de voix.

Elle vit en Champagne-Ardennes à Reims et depuis 1979 à aidé grace aux contacts par le biais de son magnétophone,

des milliers de gens dans la détresse.

C'est tout à fait par hasard que Monique Simonet à connu la transcommunication instrumentale.
Sa mère lui lit un article dans un journal local où il est question de contacts avec les morts.
Aussitôt lu, aussitôt fait, elles décident toutes deux de tenter l'expèrience. Le résultat est immédiat, c'est le père de Monique qui intervient de l'au-delà et c'est le début d'une grande aventure.
Autrefois Institurice, elle va consacrer son temps à la recherche en TCI, en amassant de nombreux messages enregistrés mais aussi des photos de défunts dans l'au-delà !
Monique Simonet va même entrer en contact en 1984 avec son petit fils Axel, parti trop tôt.
Suite à ses nombreux messages, elle prend contact avec le Père Brune et lui envoit son premier manuscrit " A l'écoute de l'invisible " (qui sera publié) : " Oh j'aime beaucoup! J'aime beaucoup!" avait-il dit.
Une longue amitié va s'installer entre eux.
A ses débuts en TCI, elle était mariée et son compagnon était athée.
Cela ne les empêchait absolument pas d'être un couple très uni, mais au point que Monique Simonet ne bougeait pas beaucoup de chez elle. Elle manquait... je trouve, à beaucoup de réunions sur la TCI, son mari n'aimant pas rester seul trop souvent.
Par contre, si'l ne croyait pas en tout cela, il ne l'à jamais empêchée de faire de la TCI. Cela n'à jamais été un vrai sujet de discorde entre eux.
Depuis, Monique Simonet est veuve et est entrée en contact avec son mari qui lui dit croire en Dieu.
Monique Simonet non plus, comme tant d'autres, n'à pas été élevée dans la religion, mais depuis toute petite, à toujours cru à un au-delà et en Dieu.

Cela me fait penser à ma grand-mère. Son père était même anti-clérical assez virulent dans ses propos parait-il. Ma grand-mère à eut la "révélation de Dieu" me racontait-elle, et à été assez soulagée d'épouser un croyant " car je priais en cachette".
De plus, elle à désarmé bon nombre de "voyantes" car elle était très medium...ceci était une apartée.

Monique Simonet :
" Depuis ma prime enfance, je suis convaincu de l'existence de l'au-delà. Ce sentiment était là, présent en moi. Pourquoi, je ne sais pas. Ma principale préoccupation a toujours été d'AIDER les personnes dans la détresse, dans la douleur. Le réconfort que je pouvais ainsi apporter, via la TCI, à des milliers de personnes fut un immense bonheur. D'autre part, ce thème m'a toujours inspiré et je satisfaisais ainsi ma curiosité et mon envie de savoir ".
Elle m'à aidée aussi, sur ma demande, lors d'une circonstance abominable de ma vie (un suicide d'un proche) mais je ne peux en dire plus ici, je veux dire sur ce blog.

Je ne sais si Monique Simonet pratique toujours aussi intensivement la TCI, mais sa générosité sera certainement récompensée de l'autre côté, la foule de messages qu'elle à obtenu pour aider les autres étant déjà une récompense pour elle!

Je n'ai jamais rencontré Monique Simonet, mais je l'ai souvent eu au téléphone et par écrits à une pèriode de ma vie, et je peux parler d'une personne extrèmement dynamique, aimant le contact, passionnée par les phénomènes dits paranormaux, à l'affût des découvertes et surtout très vive, volubile, aimant les échanges, enthousiaste.
Monique Simonet est Présidente d'Honneur de l'Association Infinitude
(en lien sur le côté en haut...)
Je ne vais pas tout copier/coller des interviews de Monique Simonet aussi je donne deux liens passionants (il y en à d'autres) qui se lisent rapidement et qui retracent le parcours de Monique Simonet :
http://www.besoindesavoir.com/article/article/id/370387
et http://www.outre-vie.com/interview/msimonet.htm


Ses livres :
- A l’écoute de l’invisible
- Porte ouverte sur l’éternité
- Réalité de l’au-delà et transcommunication
- Messagère de l’au-delà
- Images et messages de l’au-delà
- Et l’ange leva le voile

Image et messages de l'Au-delà (ci-dessus): « Ce livre est très important. Il apporte au grand public les premières images de l'Au-delà reçues en France. Des images de défunts, de trépassés qui apparaissent sur un écran de télévision !... Une grand-mère, Madame Simonet, reçoit sur son magnétophone la voix de son petit-fils Axel, décédé quelques mois auparavant. Elle reçoit même son image sur son téléviseur. À des centaines de kilomètres de là, la fille de Madame Simonet reçoit souvent, par télépathie, la voix de ce même Axel, son fils. Les messages se complètent, se confirment... Le lecteur sceptique lui-même ne s'y trompera pas : la femme qui écrit ce livre avec tant de coeur, tant de chaleur et de limpidité, ne peut mentir... Je vous l'assure, engagez-vous dans cette lecture. Au fil des pages, vous recevrez quelques enseignements fulgurants, de très haute valeur spirituelle, de ces choses qui ne s'inventent pas. Insensiblement, le contact avec l'Au-delà s'établira déjà en vous-même et vous rendra peu à peu capable d'en percevoir les signes plus nombreux que vous ne le croyez, dans votre propre vie. » Extrait de la préface du Père François Brune

Je ne peux terminer ce petit tour d'horizon de la TCI sans parler de deux autres personnes, même si je ne peux citer tout le monde.


Hildegard Schäfer dcd en 1997 , pionnière en Allemagne en TCI, que j'ai eu l'occasion de croiser à Paris. Je n'oublierais jamais son regard d'une intense bonté, cela m'a marquée..
Parmi ses livres, un que j'ai et qui est traduit en français : " Théorie et pratique de la transcommunication (Un pont entre notre monde et l’au-delà) "


Sarah Wilson Estep 1925 - 2008, pionnière en Angleterre en TCI.
Parmi ses livres, un que j'ai et qui est traduit en français : " La communication avec les morts "

L'équipe du Luxembourg, Jules and Maggie Harsch-Fischbach
: Appels téléphoniques, images vidéo avec le son, messages de Constantine Raudive, du Technicien ( Pont Burton), est sans conteste le groupe actuel étant le plus spectaculairement en contact avec l’au-delà. Ils ont débuté en 1984. Les expériences qu'ils effectuent dépassent l'imagination.
Communiquent avec le Groupe life streamer (courant vital et Fleuve du temps) où intervient le "technicien", une entité disant ne jamais avoir été incarnée, un "passeur", un guide, qui souvent récite l'Epître aux Corinthien de Saint Paul...
Il à une voix très reconnaissable, aigüe, un peu stridente mais l'entendre est toujours un évenement, une joie!
La TCI est très répandue aussi en Italie (à Grossetto notament) et il y aurait encore beaucoup à dire, mais j'ai mentionné les étapes principales.

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Ce billet est la suite de : http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2010/11/2-morts-cette-vie-vivants-dans-lau-dela.html

Voir aussi : http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2008/05/3-le-paranormal.html

http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2011/09/1-limportant-cest-daimer.html

mercredi 3 novembre 2010

2. Morts à cette vie, vivants dans l'au-delà : Suite

Friedrich JÛRGENSON

Il est considéré comme le « père », "l'ancêtre " des enregistrements de voix.
Il se qualifiait lui-même de héraut de l’immortalité.

On sait que de nombreuses expériences ont été pratiquées de très bonne heure dans ce domaine, mais c’est à Jürgenson que revient sans conteste le mérite d’avoir su le premier enregistrer, classer et archiver les voix de manière systématique,
ainsi que d’avoir offert une audience mondiale au phénomène. .


En 1915, on entend parler pour la première fois d’une possibilité de capter la voix de personnes mortes au moyen d’ondes électromagnétiques. Le journal anglais Light publia un reportage à ce sujet. On ignore si les essais sont entrepris dès cette époque, mais, compte tenu des limites techniques à l’époque, on pense que c’est relativement improbable.

En 1956, il est question de tentatives réalisées par Raymond BAYLESS et Attila SZALAY. Mais, là encore, nous ne disposons d’aucun document permettant d’attester les faits. Il en va de même des éventuelles expériences de Thomas Alva EDISON.

Bien différent est le cas de Friedrich JÛRGENSON. Au fil des ans, d’innombrables articles et interviews relatent en effet à la fois la vie de cet homme et l’histoire, si intimement liée à son nom, de la recherche sur les enregistrements de voix, une activité qui occupa l’essentiel de sa vie de 1957 à 1987, date de sa mort. Les médias offrent une vision approfondie et complète à la fois des aspects inhabituels de cette personnalité et des résultats de ses recherches; Jürgenson nous a en outre fourni lui-même une description de son existence dans son livre Spechfunk mit Vertobenen (« Radiotéléphonie avec les morts »). Qui pouvait mieux que lui évoquer sa vie et son action ?

Pour tous ceux qui, jusqu’à présent, n’ont guère — voire jamais — entendu parler de l’existence d’un certain Friedrich Jürgenson, je vais rappeler quelques éléments de sa biographie dans l’ordre chronologique :



Friedrich Jürgenson fils d’un gynécologue d’Odessa, est né le 8 février 1900. Il a quitté notre monde en 1987 et depuis l'Au-delà, continue à communiquer avec la terre avec des expérimentateurs de renom.


Il apprend trois langues dès son enfance, car dans la maison de ses parents, on parle tour à tour, russe, estonien et allemand. Son don pour les langues étrangères se trouve donc cultivé dès la plus tendre enfance; plus tard, il lui rendra d’importants services dans l’interprétation des enregistrements. L’enfant manifeste en outre des aptitudes toutes particulières pour le chant et la peinture, si bien que ses parents l’autorisent à suivre une école des beaux-arts et à étudier la lyrique.

La révolution d’octobre 1917 contraint la famille Jürgenson à émigrer en Estonie. En 1932, Jürgenson se rend en Palestine ; a Tel-Aviv, il se perfectionne dans la voie du chant et de la peinture. Il gagne l’argent nécessaire à la poursuite de ses études en effectuant des portraits et des travaux de décoration.

De 1935 à 1938, Jürgenson est à Milan où il continue de se consacrer au lyrique et entame une carrière de chanteur d’opéra. Mais une affection prolongée des voies respiratoires l’oblige à renoncer à cette profession. En 1939, quand éclate la seconde guerre mondiale, Jürgenson retourne en Estonie, mais il doit de nouveau quitter son pays devant l’invasion soviétique. Cette fois-ci, il choisit de diriger ses pas vers Stockholm et la Suède.

En 1949 commence sa deuxième carrière. Il obtient l’autorisation exclusive de peindre à l’intérieur de la basilique saint Pierre de Rome et reçoit pour mission d’immortaliser sur toile les tombeaux enfouis sous la crypte. Durant quatre mois, il poursuit son oeuvre souterraine à l’écart du public, avant d’effectuer, pour finir, quatre portraits du pape Pie XII. Ses tableaux ornent toujours les cimaises du Vatican

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hebergeur d'image Le 12 juin 1959, il décide d'enregistrer des chants d'oiseaux. Sa surprise est grande lorsque à la réécoute de sa bande, il entend un solo de trompette puis une voix d'homme lui parlant en norvégien de chants d'oiseaux !

Après maintes tergiversations, il pensa avoir capté une émission radio ou à un déréglage de sa bande et ensuite à des interventions d'extra terrestres. Puis, ayant eu des messages de défunts proches, il du se rendre à l'évidence : il avait bel et bien affaire à l'Au-delà!

Il travaille alors pendant plusieurs années dans l’anonymat le plus total avant d’acquérir une certitude sur l’origine des voix. Les messages lui parvenaient de plus en plus nombreux :

" Ce qui se produisait ici, se répétait quotidiennement et se précisait lentement, écrit Jurgenson, avait la force explosive de la pure vérité qui s'appuie sur des faits. C'était la vérité, la réalité‚ qui allait peut-être déchirer en mille lambeaux le rideau de l'Au-delà et, du même coup, réconcilier ce monde ci avec l'autre en jetant un pont au-dessus de l’abîme. Il ne s’agissait en aucun cas de sensationnel. J'étais seulement chargé de cette tâche, grande mais difficile, de la construction de ce pont entre l'ici bas et l'au-delà. Si je me montrais à la hauteur, alors, peut-être, l'énigme de la mort serait résolue, par la technique et la physique. C'est pourquoi je ne pouvais plus faire marche arrière ".

En 1963, il convie des journalistes du monde entier à une conférence de presse internationale. Cette initiative — suivie de nombreuses autres analogues — a fait connaître les enregistrements dans le monde entier.

Entre 1967 et 1969, Jürgenson dirige une opération de fouille sur le site de Pompéi : il en fait un documentaire.

Divers autres films pour la télévision, lui permettent de s’imposer comme réalisateur de cinéma. Ces oeuvres sont au nombre de huit, dont Verfall von Pompéi (« La ruine de Pompeï »), Vogelmord in Italien (« Massacre d’oiseaux en Italie »), Das Blutwunder des heiligen Januarius (« Le miracle du sang de saint janvier »). Ce dernier fut primé à Cannes en 1970.

Le pape qui en général refusait fermement de se laisser filmer autorise Jürgenson à tourner un documentaire sur sa personne. Après la première de Alle wollen den Papst sehen (« Tout le monde peut voir le pape »), Paul VI le nomme commandeur de l’ordre de Saint-Grégoire-le-Grand.En 1967, parait le livre de Jürgenson Spechfunk mit Verstobenen (« Radiotéléphonie avec les morts ») qui enseigne à des millions d’êtres humains la manière de pratiquer les enregistrements de voix. L’ouvrage est toujours proposé en vente en librairie (Goldmann-Verlag, Munich).

A partir de 1970, Jürgenson ne se consacre plus qu’à l’étude des enregistrements de voix : il fait des conférences en Amérique, en Suède, en Angleterre, en Italie, en Allemagne et en Suisse. Il s'entoura de collaborateurs, et rencontra ainsi Monsieur Constantin Raudive.
En 1975, il abandonne sa propriété de Nysund et s’installe à Höör au sud de la Suède où il reçoit des journalistes de presse écrite et de radiotélévision, ainsi que des scientifiques du monde entier.

De 1980 environ jusqu’en 1986, Jürgenson travaille sur un film retraçant sa vie, son action et surtout ses recherches; il en fait une sorte de testament. Ce film à été présenté pour la première fois au public lors d’un congrès de l’OARCA de mai 1987 à Munich.

Le 15 octobre 1987, Friedrich Jürgenson a finalement rejoint ce monde dans la communion duquel il avait déjà passé de si longues années de sa vie .
Comme il l'avait promit, le jour de son décès, il se montre en image sur un écran de télé et parle(je ne me rappelle plus de la teneur du message) , voici la photo de Jurgenson dans l'au-delà, et c'est authentique :



hebergeur d'image




Constantin RAUDIVE :

Constantin Raudive est né le 30 avril 1909 à Asune/Lettgalen en Lettonie, et a quitté notre monde en 1974.

Philosophe et écrivain, il est certainement celui qui, après Friedrich Jürgenson, a le plus mérité de la recherche sur les enregistrements de voix.

Il quitte son pays à l’âge de vingt-deux ans pour étudier la philosophie et l’histoire de la littérature à Paris et à Salamanque. L’Espagne devient sa seconde patrie. Lorsqu’il rentre en Lettonie en 1936, il reçoit une bourse pour la traduction de Don Quichotte et de diverses autres oeuvres de la littérature espagnole en letton.

On le qualifie d’ambassadeur de l’esprit ibérique, car il essaie de jeter un pont entre la Lettonie et l’Espagne.

C’est à cette époque qu’il fait la connaissance de sa future compagne, sa compatriote Zenta Maurina qui devait connaître la renommée comme écrivain essayiste. Le reste de sa vie est essentiellement consacrée à cette femme que la poliomyélite avait condamnée à la chaise roulante à l’âge de cinq ans.

De 1937 à 1944, Raudive exerce dans son pays les activités de philosophe, auteur de livres et traducteur de la littérature espagnole. En 1944, quand les Soviétiques envahissent la Lettonie, il est contraint de fuir avec Zenta Maurina devant la mort qui les menace alors qu’il venait juste de confier la construction de sa maison à un architecte.

Pendant près de deux ans, il erre à travers l’Allemagne avec sa compatriote handicapée :

une odyssée de la faim, de la souffrance et de la solitude.



Constantin Raudive et sa compagne Zenta Maurina
A la fin de l’été 1946, ils s’installent tous deux à Uppsala en Suède et deviennent professeurs à l’université de la ville.

Alors qu’il venait de se réfugier en Allemagne, Raudive ne parlait pas un mot d’allemand. Mais son don des langues lui permet de combler ce retard en un temps record. Outre le letton et le russe que l’on pratiquait chez ses parents, Constantin Raudive connaît l’espagnol, le français, et apprend le suédois et l’allemand. De même que Jürgenson, c’est un polyglotte, c’est-à-dire qu’il possède la maîtrise de plusieurs langues, une qualité qui lui fut par la suite d’une extrême utilité pour ses enregistrements de voix paranormales. Comme il l’explique dans ses livres, les voix s’assemblaient volontiers en conglomérats d’idiomes variés, souvent au sein d’une même phrase.
En 1946, Raudive déménage pour l’Allemagne. Il s’établit dans une petite maison entourée d’un jardin à Badkrozingen où il réside avec Zenta Maurina jusqu’à sa mort en 1974.


C’est tout à fait par hasard que Constantin Raudive enregistra ses premières voix :

Vers la fin de l’été 1964, il fut obligé de sortir de chez lui à l’improviste... Quand il fut de retour, il s’aperçut qu’il avait laissé son magnétophone en marche. Il voulu écouter le début de la bande... Soudain, il eut la stupéfaction d’entendre :
-« Kosti! Kosti!... » C’était la voix de sa mère qui l’appelait en lui donnant, comme la mère de Jürgenson l’avait fait pour son fils, le diminutif affectueux de jadis.

Ayant entendu parler des expériences de Jürgenson dès 1965, il l’invita aussitôt à Upsal, où ils purent confronter leurs résultats.


Constantin Raudive s’est acquis une renommée internationale grâce à ses recherches sur les enregistrements de voix, mais avant 1965, date à laquelle il opte définitivement pour les études sur le phénomène des voix, il s’est fait déjà un nom comme auteur de romans et d’ouvrages philosophiques.

Les plus connus parmi ses oeuvres, volontiers classées dans la catégorie élitiste, sont : Asche und Glut (« Cendre et braise »), Der Chaosmench und seine Überwindund (« L’homme du chaos : comment le surnommer »), Heilligkleit und Zweilicht (« Clarté et pénombre »), Lebenshunger (« Faim de vie ») et la trilogie Die Memoiren des Sylvester Perkons (« Les mémoires de Sylvestre Perkon »).

Comme Friedrich Jurgenson, jusqu'à sa mort, il se dévoua totalement à l'au-delà, et ne cessa plus d'enregistrer. Il capta environ 70.000 voix. Il multiplie les conférences, reçoit des scientifiques du monde entier dans sa maison, accorde des interviews aux journaux, à la radio et à la télévision.

Il écrit de surcroît deux livres importants sur le phénomène qui l’intéresse. Le premier, Unhörbares wird höbar (« L’inaudible devient audible »), est édité en allemand en 1968 — accompagné d’un disque présentant des exemples d’enregistrements de voix —, en anglais en 1971 sous le titre Breackthrough et en italien en 1973 sous le titre Voci dall’Aldida. Son deuxième livre sur les enregistrements de voix, Überleben wir des Tod ? (« Survivrons-nous à la mort ? »), arrive sur le marché en 1973. Son troisième livre, Der Fall Wellesittich (« Le cas Wellesittich »), est un ouvrage posthume.

La santé de Constantin Raudive a souffert de son engagement ininterrompu en faveur de la trans-communication pendant des années; le chercheur a quitté notre terre à l’âge de soixante-cinq ans, le 2 septembre 1974.

Outre ses livres, il nous a laissé un grand nombre de bandes enregistrées et de comptes rendus. Une partie de ces documents est archivée en Angleterre, une autre conservée avec ses bandes au lycée letton de Münster en Westphalie dans la salle commémorative consacrée à Raudive et Maurina, où les visiteurs peuvent les consulter ou les écouter selon les cas.

Depuis sa « mort », Raudive a répondu sur bandes magnétiques à de nombreuses questions qui lui étaient posées; On possède une grande quantité de messages sur la vie après la mort émanant de lui. L’un d’entre eux dit :

-« Ma vie est si belle! »


En fouillant sur internet, j'ai trouvé ce lien Myspace ! On y entend Constatin Raudive et une conversation (transcommunication instrumentale) entre l'experimentateur et Constantin Raudive, de l'au-delà. Les phrases de Raudive sont longues. C'est impressionant. Cliquez, ça se déclenche tout seul :


Ce lien n'existe plus, voir :


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Franz Seidl

L’une des personnalités la plus marquante de la scène parapsychologique autrichienne est l’ingénieur en électricité.

Né dans la capitale autrichienne en 1912, il étudia l’électricité à l’université de Vienne avant de travailler à la fois dans l’industrie et l ’enseignement.

Franz Seidl se fit connaître d’une part comme spécialiste de l’étude des enregistrements de voix; ses inventions — comme le psychophone, le psitron, le transducer et le transcender — contribuèrent de manière décisive au progrès de la recherche.

On lui doit d’une part la création d’un appareil qui, à l’aide de diverses électrodes, émet dans le cerveau une fréquence modulée très élevée, permettant à des sourds, y compris des sourds congénitaux, d’entendre ou de réentendre, réception d’ondes radio en bandes larges, le microphone et l’auto-émetteur. Les propos de l’opérateur s’enregistrent de surcroît également sur la bande. L’auto-émetteur met à la disposition des êtres de l’au-delà une énergie supplémentaire que ceux-ci peuvent employer de manière paranormale. Ces appareils peuvent servir à la fois pour la recherche sur les voix et pour d’autres phénomènes de parapsychologie.

Le psychophone devint néanmoins un instrument particulièrement important pour l’étude des enregistrements de voix. Il permet en effet d’utiliser trois méthodes d’enregistrement en même temps. De nombreux expérimentateurs, dont Constantin Raudive, ont travaillé pendant des années sur le psychophone de Seidl, avec d’excellents résultats.

Après la mort de l’autrichien, l’appareil fut reproduit par de nombreux techniciens et ingénieurs conformément aux plans de montage de l’inventeur; aujourd’hui encore, il a systématiquement sa place chez les expérimentateurs confirmés. Le psychophone a provoqué un tournant dans l’histoire de la psychophonie, comme Seidl avait coutume d’appeler l’étude des enregistrements de voix. Lui-même disait de ses inventions : « Dans la recherche sur les voix, nous nous trouvons confrontés à des lois différentes des nôtres, car les dimensions différentes possèdent des règles différentes qui échappent à la continuité de notre conception spatio-temporelle. C’est pourquoi ces phénomènes ne sont pas explicables dans le sens de la physique classique. Les appareils que j’ai élaborés sont déjà les constructions d’une physique transcendante, d’une « psytronique » à venir ».

L’ingénieur Seidl ne s’intéressait pas seulement aux enregistrement de voix. Sa curiosité en matière de parapsychologie se porta également vers d’autres phénomènes comme les extra photographiques qu’il obtenait pendant ses enregistrements grâce à la mise en oeuvre de ses propres montages complémentaires.

Lors de certaines rencontres qui eurent lieu dans sa maison, il réussit en outre à opérer des lévitations ou plus exactement des essais de lévitation.

Son esprit de chercheur se pencha également sur les photographies de Kirlian et il s’attacha tout particulièrement à l’âme des plantes.

Seidl consacra une partie importante de son activité à établir quelles sont les influences extérieures subies par la vie des plantes; il existe un nombre important d’articles de presse, d’émissions de radio et de télévision relatifs à ces étonnantes constatations.

Les succès remportés par ses recherches au service des malentendants furent bien sûr tout particulièrement relevés par les médias.

Lui-même rédigea une brochure sur ses expériences dans le domaine des enregistrements de voix : Phänomen Transzendentalstimmen (« Le phénomène des voix transcendantales », Editions Frech-Verlag).

L’ingénieur Seidl reçut de nombreuses distinctions, notamment une nomination au prix Getty, pendant du prix Nobel, pour ses recherches sur l’énergie. Ses grands mérites scientifiques lui valurent en outre d’être nommé membre d’honneur de la fondation Eurafok pour la culture et la recherche américano-européenne.

En 1982, Franz Seidl devait faire une intervention sur le thème du « champ psi comme tentative d’explication des phénomènes paranormaux » lors d’un congrès Imago Mundi à Innsbruck. Mais il n’en eut pas le temps. Le 2 juin 1982, il fut soustrait à ses travaux préparatoires et appelé à rejoindre cette autre sphère d’existence qu’il avait déjà si souvent fréquentée de son vivant et à l’étude de laquelle il avait consacré une grande partie de sa vie.



A suivre... Nous retournerons aussi en France..



ET : http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2011/09/1-limportant-cest-daimer.html

(sur Constantin Raudive, dialogues de l'au-delà)

lundi 1 novembre 2010

1. Morts à cette vie, vivants dans l'au-delà : La Toussaint



Les cimetières, le jour de la Toussaint, sont gais, fleuris, colorés, mais les tombes sont vides.
Certes, elles renferment la dépouille de nos êtres aimés qui nous ont quitté ou plutôt qui sont parti de ce monde terrestre, mais qui ne sont pas très loin de nous.
Car ils sont bien vivants, ils en témoignent eux-même par divers moyens, et ne sont pas dans ces tombes.

Ce billet sera court car j'y reviendrais, sur la survie après la mort, sur la resurection.


Je dois mes plus grandes consolations lors de deuils, à la transcommunication instrumentale.


J'ai enregistré les voix de personnes chères parties d'ici-bas.
Soit des messages murmurés, souflés, soit des voix nettes, c'est incroyable!


A tel point qu'ensuite ( mais ça c'est classique) que lors d'autres deuils, je n'avais plus besoin de faire des enregistrements, d'ouvrir un micro, car je savais que la personne décédée était vivante, en vue de mes expèriences précédentes.
Je remercie Dieu de m'avoir permi d'avoir ces contacts là...
J'ai d'ailleurs commençé la transcommunication par rapport au deuil (celui de ma mère morte à ma naissance dont je n'acceptais pas le decès), j'expliquerais plus tard comment j'ai connu l'existence de la transcommunication instrumentale, lors d'une conversation entre deux personnes, à batons rompus.
Puis ensuite, quelqu'un, interressé par mes messages, m'a tendu un livre " Les morts nous parlent " du Père François Brune, dont j'ignorais totalement l'existence, et m'a donné ses coordonnés.

Je fais partie de tous ceux qui ne sont pas dans l'Esperance de la Resurrection, mais qui savent que le Resurrection c'est maintenant, là, et que nos morts ne sont pas morts.
Même si la séparation est source de douleur, tout de même, je sais que nos défunts ne sont pas anéantis, que leur vie continue et qu'ils sont bien plus près de nous qu'on ne l'imagine...
Que la Fête de la Toussaint veut bien dire ce qu'elle veut dire : Communion des Saints, vivants ou "morts", pourquoi ce terme d'Esperance, n'est-ce pas une certitude ? Il y à là une contradiction de la part de l'église (mais ce n'est jamais qu'une de plus), car qu'est-ce que c'est " la resurrection à la fin des temps" ? De quel temps s'agit-il ?
La Resurrection, c'est maintenant ou c'est dans des millons d'années ?


Peut-on être en communion avec des entités qui ne seraient pas ressuscitées ?


Pour parler un peu de ces contacts, que je déveloperais plus tard, je vais présenter un peu quelques membres de l'église, parce-que la transcommunication instrumentale est souvent arrivée par eux :


Le Père François Brune




Si le Père François Brune ne pratique pas la transcommunication instrumentale lui-même, (même s'il à reçu des messages lors de ses enquêtes sur ce phénomène extraordinaire que sont les enregistrements des voix), il n'en reste pas moins que son livre " Les morts nous parlent " et ensuite" Les morts nous parlent II " (sur les expèriences aux frontières de la mort) est une formidable démonstration de l'amour de Dieu pour ses créatures, une enquête minutieuse et passionante J'en ai déjà parlé ici. A lire absolument.
Les interventions du grand théologien qu'est le Père François Brune sont captivantes et nous éclairent sur la symbolique des Ecritures.
Car sa connaissance de l'au-delà redonne Vie, à travers son regard de prêtre, aux discours trop ressassés sans véritable prise concrète sur une réalité : Celle de l'au-delà et de la Resurrection.
Le Père Brune, comme tout véritable pionnier, à été en but à des critiques souvent acerbes de la part de certains, parfois gratuites mais surtout stupides et méchantes (j'en ai été le témoin et l'objet aussi, comme pour d'autres qui adhèrent à sa pensée) On m'à servit du diable et de l'Ancien testament, des phrases contraire au message d'amour du Christ,mais parfois des piques ou reflexions digne de l'esprit de l'Inquisition, et ceci très récement encore. Mais c'est la seule réponse, médiocre en l'occurence, que ses détracteurs ont pu avoir à son égard. Autant dire que cela ne va pas très loin dans la reflexion.
Parce-qu'il qu'il dérange par sa lucidité sur certaines réalités.
J'ai envie de dire ce soir que si tous les prêtres étaient comme lui l'Eglise se porterait mieux, car à ce que je sache,

ceux qui ont fait du mal à l'Eglise ont eu d'autres pratiques que celle de la transcommunication instrumentale....!


Mais ne parlons plus de ces horreurs...
Je m'adresse surtout là, plus qu'à des prêtres aujourd'hui, à certains catholiques "avertis", qui se veulent plus royalistes que le Roi ( ce sont les pires) pétris d'orgueil et de suffisance, derrière leur grand discours sur l'humilité, et dont le coeur est vidé d'amour et de tolérance pour leur prochain ( ils sont nombreux) malgrès le message d'amour du Christ et qui sont SURTOUT aussi la cause de la fuite de beaucoup de fidèles hors des églises... A méditer.

Bon : Je pense surtout qu'ils sont un peu dingues...hebergeur d'image
Je conclue en disant très sèrieusement que j'ai souvent pensé qu'il fallait avoir une foi béton...pour continuer à fréquenter une église...


C'est bon, j'ai eu mon petit coup de gueule...

Mais au fait, qui est le Père Brune ?
François Brune, né le 18 août 1931 à Vernon dans l'Eure, est un prêtre catholique français. Il est auteur de nombreux ouvrages concernant la théologie, la spiritualité, la vie après la mort et le paranormal en rapport avec la foi catholique.


Après un baccalauréat latin-grec suivi de 4 années d’hypokhâgne et khâgne et de certificats en Sorbonne (latin et grec), François Brune entreprend des études de philosophie et de théologie (5 ans à l’Institut catholique de Paris et 1 an à l’Université de Tübingen). Il obtient la licence de théologie de l’Institut catholique en 1960 et suit 2 années à l’Institut biblique de Rome, conclues par la licence d’Écriture Sainte en 1964.
Entré dans la compagnie des prêtres de Saint-Sulpice, en 1960, il enseigne dans divers grands séminaires, à Nantes, Rodez et Bayeux. Depuis 1970, il se consacre à l’écriture de ses ouvrages, ainsi qu'à l'animation de conférences dans divers pays, effectuant de nombreux voyages à la rencontre d’autres chercheurs. (Wikipedia)



Le Père Jean Martin de Belgique :


L'abbé Jean Martin est belge.

" Né en 1936, il est ordonné prêtre en 1961. Docteur en philosophie de l'université de Louvain, prêtre de paroisse puis professeur de séminaire, il est actuellement chargé d'animation religieuse dans les écoles d'enseignement spécialisé de son diocèse.


Il s'occupe aussi d'accompagnement auprès des personnes dans le deuil. Il est l'auteur de 'A l'écoute du monde animal', 'Des signes par milliers', et 'Horizon de lumière' et d'autres livres encore.."Nul n'est une île " " Le prêtre, la medium et le chien ".


Le Père Jean Martin pratique la transcommunication instrumentale. " Il a enregistré assez souvent des plaintes et des demandes de secours. Il a notamment capté la voix d’une enfant du village où il habite et qui venait de décéder. Il put contacter une jeune institutrice de 27 ans décédée dans un accident de voiture. Jean Martin a reçu plus de 2000 messages venus d’entités qu’il n’identifie pas toujours." .


" L’Au-delà nous fait signe, nous dit Jean Martin, et ces signes, qui sont comme des brèches par où passe la lumière, sont plus fréquents qu’on ne le pense : « des signes par milliers »... Ces brèches s’avèrent être d’abord et avant tout les tentatives de transcommunication instrumentale ; ensuite les expériences aux frontières de la mort. Retraçant ses propres tentatives de communication avec l’Au-delà, le père Jean Martin affirme haut et fort que la mort n’est qu’un passage : il en a eu la preuve matérielle. Voici donc, pour la première fois, le témoignage unique d’un prêtre catholique qui a le courage de dire l’aide affective et surtout spirituelle qu’il a retirée de ses contacts avec les « morts ». Ce livre est un plaidoyer pour dépasser le deuil. Il s’adresse à tous, croyants ou non croyants. Peu à peu, le mur qui nous sépare de l’autre monde se fendille et l’initiative vient de l’Au-delà ".


"L'initiative vient de l'au-delà", retenez bien cette phrase, on va voir plus tard...
Je conseille au moins deux livres que j'adore et le deuxième est bouleversant :



Remontons dans les années 50:


Parmi les premiers


transcommunicateurs, dans les années 50 figurent deux prêtres catholiques,


les pères Ernetti et Gemelli.




" Ils effectuaient une recherche musicale.


Ernetti était un scientifique internationalement respecté, un physicien et un philosophe, fervent amateur de musique de surcroît.

Gemelli était président de l'Académie pontificale des sciences.


(Photo Père Agostino Gemelli)

Le 15 septembre 1952, alors que les deux pères sont occupés à enregistrer un chant grégorien, un fil de leur magnétophone casse constamment… Exaspéré, Gemelli lève les yeux au ciel et demande l'aide de son père défunt. La réponse de celui-ci est enregistrée sur le magnétophone : « Bien sûr, je vais t'aider, je suis toujours avec toi. » Les deux ecclésiastiques répétèrent l'expérience avec le même succès.
A-t-on le droit de parler avec les morts ?
Gemelli, tout d'abord plein de joie devant l'apparente survie de son père, se sent assailli par une certaine crainte : a-t-on le droit de parler avec les morts ?
Pour en avoir l'âme et le cœur nets, les deux hommes se rendent à Rome, chez Pie XII, à qui, profondément troublé, le père Gemelli raconte son expérience ".



Réponse du pape Pie XII :
« Cher père Gemelli, vous n'avez vraiment pas à vous tracasser à ce sujet. L'existence de cette voix est strictement un fait d'ordre scientifique et n'a rien à voir avec le spiritisme… L'enregistreur est absolument objectif : il reçoit et enregistre les ondes sonores d'où qu'elles viennent. Cette expérience pourrait constituer la pierre angulaire de l'édification d'études scientifiques appelées à fortifier la foi des gens dans un au-delà. »



Le père Gino Concetti, lui, est commentateur à l'Osservatore romano :


" Il a expliqué, dès décembre 1966, que pour l'Eglise catholique, les contacts avec l'au-delà sont possibles. Celui qui dialogue avec le monde des défunts ne commet pas le péché s'il le fait sous l'inspiration de la foi…
Ce frère franciscain mineur est l'un des théologiens les plus compétents du Vatican.
Sa position illustre une tendance nouvelle de l'Eglise devant le paranormal ".



Le Père Leo Schmid :



" Si le père Léo Schmid occupe une place aussi importante dans l’histoire de la recherche sur les enregistrements de voix, c’est parce-qu’il y à toujours eu — et il y à toujours certainement encore de nos jours — des hommes pour considérer ce domaine comme une zone interdite, impossible à concilier avec les exigences de la religion.


Léo Schmid est né le 2 avril 1916 à Hägglingen en Suisse; il à été ordonné prêtre en octobre 1938 à Würzburg.


Jusqu’en 1946, il enseigne à l’école saint Joseph d’Altdorf; il devient ensuite vicaire de Grenchen pendant trois ans, puis de Neuenhof et enfin d’Arlesheim jusqu’en 1952. Il restera curé d’Oeschgen en Aargau de décembre 1952 à la fin sa vie, le 28 février 1976.


De 1969 à sa mort, le père Schmid s’est intéressé aux « voix » de manière plus intense, avec l’autorisation de ses supérieurs ecclésiastiques les plus hauts placés. il devient l’un des plus ardent défenseur du phénomène et n’hésite pas à faire état de ses convictions en public, à la radio, à la télévision ou devant de nombreux congrès et rassemblements relatifs au sujet.


Pendant de longues années, le père Schmid a entretenu des relations étroites avec tout ce que le domaine de la recherche sur les enregistrements de voix compte de sommités. Il ne s’est pratiquement pas passé de jour sans qu’il prit place devant ses appareils, si bien qu’au fil des ans, il est parvenu à archiver quelque douze mille voix.


Tout comme Jürgenson et Raudive (dont je vais parler plus loin), le père Schmid a lui aussi établi des contacts dans diverses langues notamment en latin, français, anglais, dialecte suisse-allemand et allemand littéraire.




Le Père Leo Schmid


En février 1972, dans la salle d’honneur de l’université de Berne, Léo Schmid a reçu le prix de l’Association suisse de parapsychologie pour l’étendue et la qualité de ses recherches, pour ses enregistrements de voix et sa courageuse promotion du phénomène auprès du grand public.


Le père Schmid, qui s’était d’abord fait connaître sous le pseudonyme de Gérold Schmid comme auteur de nombreux ouvrages pour la jeunesse, s’est ensuite lancé dans le récit de ses expériences et de ses découvertes effectuées tout au long de ces années de recherches, Wenn die Toten reden (« Quand les morts nous parlent ») à été publié peu après sa mort à titre posthume. Le livre est malheureusement épuisé de nos jours.


Le père Schmid est mort alors qu’il n’était âgé que de soixante ans, le 28 février 1976. Il n’a disposé que de sept années pour travailler sur les enregistrements de voix, mais son zèle et l’audace de son engagement auprès du public ont contribué de manière décisive au développement du phénomène ".


Je reparlerais plus tard d'autres grands pionniers de la TCI (abréviation) dont l'un d'entre eux fut aussi, d'une autre manière très lié au Vatican, et de Monique Simonet en France. Mais il y en à tant d'autres...


Liens précedents : http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2008/11/1-le-coeur-dune-mre-le-paranormal-3.html


http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2009/09/5-le-paranormal-4-signe-de-vie.html


http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2009/11/1-toussaint-quelques-poemes-et-messages.html


D'autres billet ont trait à l'au-delà sur ce blog....


LIRE SUITE : http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2010/11/2-morts-cette-vie-vivants-dans-lau-dela.html



En cette veille du 2 novembre, Fête des morts,


je voulais m'associer en union de pensée et de prière aux victimes de l'attentat de l'Eglise Syriaque chretienne de Bagdad.


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