vendredi 28 novembre 2008

6. Orient danses et flamenco 2



On continue à suivre la migration des gitans en essayant de faire le plus concis possible afin que cela ne soit pas ennuyeux.

Voici ce qui s'inscrit dans le vocabulaire et que je résume le plus clairement et brièvement possible :

En Egypte, on appelle une danseuse professionnelle une ghaziya (au pluriel, ghawazi) et en égyptien, ghawazi signifie étranger.

Or les tziganes ont toujours vécu à la bordure des villes comme des marginaux.

A l'origine, les ghawazi étaient des tziganes.
Ce terme désigne maintenant surtout les danseuses en général donc.

On remarque l'évolution ou la dénaturation du terme.
Enfin, je j’explique cela de cette façon… avec ces deux mots...

Les tziganes ont joué un rôle important dans l'évolution des danses profanes et cela se retrouve aussi dans le vocabulaire turc où l'ancien terme de danseuse (cengi) vient de cingene (tzigane).


Au Moyen-Orient (Égypte, Liban, Syrie) de grandes danseuses ont été révélées grace au cinema et spécialement au cinéma égyptien.

Puis ces danses se sont propagées partout et dans le Maghreb...je pense.




Mais plus on apprend jeune, mieux on danse. Voici une petite fille talentueuse! Elle à 5 ans et est égyptienne. Au fil de la vidéo, le rythme s'accentue et dévoile le talent de l'enfant, et quelle application dans la gestuelle ! Fascinant!




envoyé par ssissiOO75

suivie d'une autre vidéo de l'extraordinaire Didem (j'en ai déjà posé deux dans ce blog) elle est incontournable!



Didem - Danseuse Orientale - 7
envoyé par Hom3arth



Pour résumer : Il existe deux grandes catégories de danses indiennes, en allant au plus court, et une de ces deux catégories comporte des morceaux basés sur les histoires mythologiques indoues où les caractères sont les dieux et les déesses, souvent Krishna ...

Il y à donc une origine spirituelle... Comme nous l'avons vu précédement dans les "4 ingrédients du flamenco" , quelque soit les "dogmes" sur laquelle la danse s'appuie (dieux, déesses, monotheisme) le sens profond est un appel à la puissance divine!


Tout à l'heure nous avons vu comment peut se réaliser la fusion danse orientale/flamenco.

Voyons ce que donne la fusion danse ou musique indienne/flamenco, c'est très beau, avec les sonorités guitare cithare (c'est merveilleux) tabla et cajon !




Et cela donne ici, voici une rumba "Andalucia rumba" tout simplement! Et ça chauffe!



envoyée par miguelcz


Voici un joli exemple de flamenco arabe, cette danse raconte une histoire avec beaucoup de charme (oriental et zapatero) :



envoyé par noemissima

Je ne sais plus où donner de la tête avec toutes ces vidéos et la beauté des danses, danseuses, costumes, chorégraphies! Des danses orientales, il y en à à la pelle et toutes aussi belles les unes que les autres! AAAAAAAH l'Orient! Que faire???
Comme j'avais promit et cela va venir, que je poserais des photos où je danse la rumba sur les tables (je les ai retrouvées, il n'y à plus qu'à les scanner) ainsi que des poèmes sur l'Algérie que ma grand mère à regroupés, j'illustrerais tout cela avec d'autres vidéos.
Dans le post précedent j'ai mit le lien de Sadie à la fin, ne vous privez pas d'aller le voir, elle est splendide. Or dès la première fois que j'avais regardé sa danse orientale dans cette vidéo, j'y avais senti l'Inde très fortement....Allez savoir pourquoi...

Allez... on ne se prive pas ce soir, encore deux ou trois vidéos Lol!

Encore Didem :


Danse oriental didem Bellydance(14)
envoyé par maninani


Encore Sadie...et Sonia!On y retrouve des choses connues mais aussi des nouveautés :


envoyé par justthefacts1234

Et pour ce soir, avant une petite troisième partie/conclusion, on retrouve une vidéo flamenco arabe avec Paola Flores explosive, sublime!
Chantée en espagnol et arabe. Mais... ne serait-ce pas une rumba connue? hihi!



envoyée par darioalbuja

Bonne nuit.


Ce billet est la suite de :

http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2008/11/6-orient-danses-et-flamenco-1.html

Voir :

http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2008/12/3-orient-danses-et-flamenco-3.html

mercredi 26 novembre 2008

5. Orient danses et flamenco 1

envoyé par ispandiyaq On vient de voir encore Sadie, une danseuse orientale que j’aime beaucoup ! Je ne pouvais pas traiter du flamenco sans parler de la danse orientale, c’est trop beau ! De plus, le flamenco a ramassé des influences de danse orientale, on va le voir.
Puisque j'ai parlé des 4 ingrédients du flamenco :

http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2008/10/2-des-quatre-ingrdients-du-flamenco-1.html http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2008/10/3-des-quatre-ingrdients-du-flamenco-2.html
illustons-les avec la danse orientale. Citation : " C'est historique et géographique en fait, c'est parce que les maures ont vécu longtemps en Andalousie, tout comme les juifs, avant que l'inquisition ne les chasse de ce territoire. Certains se sont convertis également, et le flamenco a hérité des spécificités orientales. " Mais pour comprendre, voyageons un peu :


karunesh - krishna' s song envoyé par katie82130
Et que voyons-nous là ? L'Inde, l'Egypte et les danses orientales? Gràce à ce voyage dans le temps par katie82130 avec sa très belle vidéo "karunesh - krishna - song music" : Citations : " Le gitan, partis de l'Inde, de la région du Rajasthan, dès avant l'an 1000, se divisent pour suivre deux routes principales très différentes: celle du nord ( Turquie, Europe centrale, centre de la France, Catalogne, Andalousie ) qui se ramifie en une branche allant jusqu'en Scandinavie pour se rabattre vers le Sud-ouest en traversant la Prusse et la Hongrie; et celle du Sud ( Syrie, Égypte, Maghreb , Andalousie ) "
" La danse flamenco, découverte au début du XIXème siècle par les grands écrivains et voyageurs Chateaubriand, Posper Mérimée et Théophile Gautier notamment, est le fruit d'une longue tradition, qui plonge ses racines jusque dans cette antique civilisation indo-méditerranéenne, qui s'étendait de l'Espagne jusqu'aux rives de l'Indus il y a plus de 4000 ans, et où la danse était traditionnellement reliée au Sacré. Cette antique civilisation indo-méditerranéenne comprenait notamment : Sumer et la première architecture religieuse, l'Egypte des grandes pyramides, ainsi que la brillante civilisation de l'Indus, berceau du yoga, de la méditation et de la danse sacrée en Inde ; on sait maintenant que c'est de la civilisation de l'Indus (2800-1800 av. J-C - centres principaux : Mohenjo-Daro et Harappa) dont sont originaires les Gitans qui ont participé à l'élaboration et à la conservation de l'Art Flamenco ". " L'éminent flamencologue José Manuel Caballero Bonald, membre de Catedra de Flamencologia de Jerez, explique en effet, dans son livre "La danse andalouse", que ce sont des colonies orientales qui, utilisant les premières routes de navigation méditerranéenne, apportèrent en Andalousie, par vagues successives, dès le 10ème siècle av. J.-C., les danses sacrées des bayadères hindoues ". "Ce fut notamment Cadix, la plus ancienne ville de l'Occident (fondée par les Phéniciens 1000 ans av. J.-C.), qui sut accueillir cet enseignement si savant du rythme oriental, le transposant selon ses propres exigences et le traduisant selon les lois de son tempérament ". (Entre guillemets, prit dans divers sites). Remarquons : Bayadère Du portugais bailadeira (danseuse ), issu lui-même de bailar (danser en espagnol )... Repartons en Egypte, encore grace à katie 82130 et la belle voix de Natacha Atlas. J'ai déjà vu de très belles vidéos et celle-ci est une splendeur :


natasha atlas - c 'est la vie - amulet envoyé par katie82130 " La danse orientale, traduit de l'arabe "El raqs el sharki" vulgairement appelé aussi "danse du ventre" a droit à sa place parmi les plus grandes danses, et rend hommage à toute la féminité qu'elle dégage. Elle se caractérise par des mouvements du bassin en rotation ou latéraux, par des mouvements de bras, d'épaules, de ventre, hanche et de buste. La première école de danse orientale fut créée en Égypte en 1852. Elle fut interdite, bafouée pas reconnue et réservée qu'au cabaret, elle fut même tabou dans certains pays. La danse change un peu d'aspect lorsqu'à chaque fête, à chaque cérémonie on y voit une danseuse, cela devient presque une coutume, elle devient festive. La danse orientale à travers le temps, c'est fusionné, tel que le flamenco oriental, le tzigane, la danse indienne, le tribal, le style pharaonique " ... " La danse du ventre, Jean-Léon Gérôme, XIXe siècleLa danse orientale (le terme danse du ventre est péjoratif car en réalité tout le corps travaille) ou baladi (terme utilisé chez les canadiens-français) est une danse originaire du Moyen-Orient et des pays arabes, dansée essentiellement par des femmes, mais aussi, de plus en plus dansée par des hommes à travers le monde. On pense que l'origine de cette danse remonte aux anciens rites de fertilité, associés à la fois à la religion et à l'ésotérisme. Très peu de sources valables d'informations sont accessibles sur le sujet, voilà pourquoi il existe autant de mythes autour de l'origine et de l'évolution de cette danse. Au sens large, le terme désigne la danse orientale sous toutes les formes qu'elle connaît aujourd'hui. Les Français ont découvert la danse orientale lorsque les soldats de Bonaparte débarquèrent pendant la campagne d'Égypte. Venant d'une société relativement puritaine, la moindre nudité leur était alors perçue comme un puissant aphrodisiaque. En voyant ces bassins de femmes se déhancher langoureusement -alors que l'Église de l'époque considérait la danse comme une marque du démon- ils firent une erreur d'appréciation et assimilèrent naturellement la danse orientale à une invitation à la prostitution, même si en aucun cas, elle ne fait partie de ce milieu ". (extraits de divers sites). Et comme les dessins égyptiens sont de profil, voici une danse orientale avec déplacement latéral, c'est assez original, elle s'appelle Rachel :


rachel special coup de coeur envoyé par zhirou Et quand le flamenco et la danse orientale fusionnent, cela donne ceci, c'est magnifique :


envoyé par DevaMatisa Précedent lien sur Sadie :http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2008/06/7-coups-de-coeur.html
A suivre...Voir http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2008/11/7-orient-danses-et-flamenco-2.html.

mercredi 12 novembre 2008

4. Message d'Isabelle du 11 novembre

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bonjour ... mamounette ! je suis très heureuse que cette émission de télé ait eu autant de succès !(succès mérité !) ce fut fait avec respect ... pudeur ... sans parti-pris ! on y vient petit à petit .... mais que de tabous ... que d’ironie ... à vaincre encore ! nous félicitons d. pour son animation !!! oui ... nous vous suivons de près !!! le monde bouge dans tous les sens ! vous êtes à un tournant décisif ... qu’il faut bien prendre ! les consciences s’éveillent ... mais il y a encore beaucoup de réticences !! "nous" en viendrons "à bout" ! n’en doutez pas ! c’est la foi qui sauve !! encore une fois ... ce ne sont pas les grands discours ... les grandes théories ... mais les actes ... et l’être ! soyez !! soyez vrais ... soyez humbles ... soyez tolérants ... soyez compatissants ... soyez dans l’amour ! le chemin est tortueux ... bien souvent ... mais nous vous guidons .... nous essayons de vous "éveiller" ... (ou de vous réveiller !) vous êtes convaincus de notre bonheur ineffable ... de notre vie ... de notre paix ... que nous essayons de vous transmettre !!! faites fi de tous les faux-semblants .... de toutes les critiques ... restez dans votre conviction profonde "d’y"croire ! que cela soit !
Isabelle 11 nov 2008
( petit message .... mais vous savez tout ce qui importe ! ) après l’orage ..... il y a un arc-en-ciel !!! et "d’une mort .... naît une vie nouvelle" (à méditer ???)

Et voici une vidéo où sont interviewés Anne-Marie Lionnet et Jean-Paul Sermonte (en lien ici et cf lesamisdegeorges)

Debat-anne-marie
envoyé par jeffcola

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lundi 10 novembre 2008

3. Quand un poilu a peur...

La guerre de 14/18 à été une des guerre les plus horrible, je pense que les gens le savent, et combien ont perdu la vie !

70.000.000 de soldats engagés, de toutes nationalités, 10.000.000 tués.

Certains étaient connus :
Alain Fournier, auteur romantique du "Grand Meaulnes" fut tué dans des circonstances encore assez troubles sur la Tranchée de Calonne le 22 septembre 1914.

Charles Péguy, qu'une balle allemande en plein front emporte le 5 septembre 1914, aux premiers instants de la bataille de la Marne,

Guillaume Apollinaire, touché à la tempe le 17 mars 1916 et trépané, succomba affaibli par sa blessure à l'épidémie de grippe espagnole le 9 novembre 1918.

Je les cite (pour information) parce-que ce sont des auteurs que j’aime bien, mais d’une part, la liste n’est pas exhaustive et d’autre part je suis autant sensible aux anonymes.

Depuis que je suis toute petite j’ai été sensibilisée par la bataille de Verdun car mon père m’en avait beaucoup parlé et m’y avait emmenée deux fois. Un grand-père l’avait fait et en était revenu vivant,contrairement à la guerre de 1870 où un membre de la famille de ma grand-mère parti lui aussi d’Algérie pour la faire puis déporté en camp de prisonnier, laissant donc sa famille sans nouvelle. Puis il était revenu et était mort atrocement par étouffement des suites de la guerre à cause des « gaz moutarde ».


J’avais été très impressionnée par ce champ de Verdun immense, qui n’en finissait pas, recouvert de croix : Tant de soldats avaient été tués !





Mais surtout ce qui m’avait fait frémir, c’est la Tranchée des baïonnettes.
On sait que le vie dans les tranchées à été abominable.


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Le 12 juin 1916 ; Un régiment s'y retrouve isolé sous un bombardement d'obus, les hommes sont ensevelis et enterrés vivants dans la tranchée qui s'effondre (le 137 régiment d'infanterie)
Je regardais ces baïonnettes sortir de terre, et j’imaginais avec effroi ces hommes enterrés vivants en dessous, les circonstances horribles de leur mort.

Je réalisais déjà l’absurdité de la guerre. Plus tard, je réclamerais à mon père d’y retourner : « Emmène-moi à Verdun papa ! Allons à Verdun » et nous irons une troisième fois.
J’avais besoin d’y retourner pour liquider quelque chose de l’ordre d’un choc intérieur.

Cette émotivité de petite fille n’était pas tombée dans l’oreille d’un sourd (je ne parle pas de mon père) vous allez comprendre.

TRANSCOMMUNICATION :

C'est en 1996 je crois (je n'ai pas ressorti mes cassettes de TCI pourtant bien archivées, mais j'en ai tellement) mais j'ai toujours les messages enregistrés,
que le jour de l'anniversaire de la bataille de Verdun, sans y preter trop attention, je décide de faire de la transcommunication.
Je désirais enter en contact avec l'au-delà en laissant ce que j'appelle le "micro libre", c'est à dire que je n'appellais personne en particulier et laissais la liberté à n'importe quelle entité de déposer un message si message il devait y avoir.

Comme support sonore, j'utilisais les langues étrangères, et après avoir dit "Bonjour" à l'au-delà, je laissais tourner la bande magnétique.

Après avoir utilisé plusieurs langues, sans résultat, je mit mon poste sur radio Berlin, car la langue allemande à l'avantage (même si ce n'est pas sur celle-là que j'ai eu le plus de messages) d'être posée, avec des silences entre les phrases.
Le spaecker fait un discours auquel je ne comprends rien et à la réécoute, entre deux mots, une voix masculine s'exclame, nette et insistante, comme s'il s'agissait d'un autre speacker :

-"J'ai la trouille! (langue allemande, puis) "Poiiiilu!" pour bien se faire comprendre.

J'ai été très émue et me suis demandée pour quoi ce poilu avait encore "la trouille" et n'avait pas rencontré de l'autre côté un être de lumière (même s'il avait été athée, les NDE n'en témoignent-elles pas?) pour le conduire vers des êtres chers ou en tous cas, la consolation....
Ce ne sera pas la première fois que des âmes égarées m'appelleront à l'aide, j'en reparlerais.
Suite à cela, ayant fait écouter ce message impressionant à des amis, je vais prier pour ce poilu de 14/18, m'adresser à lui et tenter de le conduire vers son guide afin qu'une fois pour toute, il sorte de cette guerre, depuis longtemps terminée au niveau terrestre.

Je re-précise : Lorsque je parle de messages clairs, audibles et forts, prenez-le comme tel : Ce ne sont pas des murmures, souffles ou voix basses etc...

Laissons monsieur Georges Brassens exprimer ce qu'il pense de cette guerre !
Paroles de Georges Brassens :

mercredi 5 novembre 2008

2. U.S.A. Et si nous rêvions encore plus?




Aujourd'hui, Barack Obama, élu 44 ème Président des Etats Unis !





Depuis toujours j'ai dans mon entrée une affiche avec la photo du Pasteur Martin Luther King et son discours : "I have a dream"





Est-ce le début de la réalisation de son rêve, ce tournant dans l'histoire? Oui, à condition de ne pas oublier un paramètre : L'amour





Le 28 août 1963. Martin Luther King illustre clairement le désir de voir dans le futur les Noirs et les Blancs coexister harmonieusement et vivre égaux.


Le titre du discours "I have a dream" vient de son passage le plus connu :

« I say to you today, my friends, so even though we face the difficulties of today and tomorrow, I still have a dream. It is a dream deeply rooted in the American dream.
I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident: that all men are created equal.”
I have a dream that one day on the red hills of Georgia the sons of former slaves and the sons of former slave owners will be able to sit down together at a table of brotherhood.
I have a dream that one day even the state of Mississippi, a state sweltering with the heat of injustice, sweltering with the heat of oppression, will be transformed into an oasis of freedom and justice.
I have a dream that my four little children will one day live in a nation where they will not be judged by the color of their skin but by the content of their character. I have a dream today!
I have a dream that one day down in Alabama, with its vicious racists, with its governor having his lips dripping with the words of interposition and nullification; one day right down in Alabama little black boys and black girls will be able to join hands with little white boys and white girls as sisters and brothers.
I have a dream today.
I have a dream that one day every valley shall be exalted, every hill and mountain shall be made low, the rough places will be made plains and the crooked places will be made straight and the glory of the Lord shall be revealed and all flesh shall see it together. »



Traduction française :


« "Je vous le dis aujourd'hui, mes amis, bien que nous devions faire face aux difficultés d'aujourd'hui et de demain, j'ai tout de même un rêve. C'est un rêve profondément enraciné dans le rêve américain."
« Je fais le rêve qu'un jour, cette nation se lève et vive sous le véritable sens de son credo : “Nous considérons ces vérités comme évidentes, que tous les hommes ont été créés égaux.”
« Je fais le rêve qu'un jour, sur les collines rouges de la Géorgie, les fils des esclaves et les fils des propriétaires d'esclaves puissent s'asseoir ensemble à la table de la fraternité.
« Je fais le rêve qu'un jour, même l'État du Mississippi, désert étouffant d'injustice et d'oppression, soit transformé en une oasis de liberté et de justice.
« Je fais le rêve que mes quatre jeunes enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés pour la couleur de leur peau, mais pour le contenu de leur personne. Je fais ce rêve aujourd'hui !
« Je fais le rêve qu'un jour juste là-bas en Alabama, avec ses racistes vicieux, avec son gouverneur qui a les lèvres dégoulinantes des mots interposition et annulation; un jour juste là-bas en Alabama les petits garçons noirs et les petites filles noires puissent joindre leurs mains avec les petits garçons blancs et les petites filles blanches, comme frères et sœurs.
« Je fais ce rêve aujourd'hui.
« Je fais le rêve qu'un jour chaque vallée soit glorifiée, que chaque colline et chaque montagne soit aplanie, que les endroits rudes soient transformées en plaines, que les endroits tortueux soient redressés, que la gloire du Seigneur soit révélée et que tous les vivants le voient tous ensemble.»


Et moi je rêve encore plus ! Pourquoi pas un jour, comme Président des Etats Unis :




Un descendant d'amérindien?

Why not ?



Et que l'on soit blanc ou noir, maghrébin ou gitan, on est là pour s'aimer, c'est Ricao qui à raison!
"C'est la vie"

dimanche 2 novembre 2008

1. Le paranormal 3 : Le coeur d'une mère


(Ma mère à 16 ans)

La mort à toujours été la grande affaire de ma vie... et pour cause!
Entre les non dits et les secrets bien gardés, les questions interdites, les injonctions de ma mère au coucher et ceci pendant des années : "Et n'oublie pas : Fais une prière pour ta maman du ciel!" qui tombait comme un couperet,
sans explication...Entre une culpabilité confuse et une interrogation sans réponse, un désir d’aimer cette dame sur cette photo sur ma table de chevet et la sensation de lui trouver tantôt un air sévère tantôt un air affable, ou triste…
Jusqu’à ce qu’à l’âge de dix ans j’exige vraiment la vérité et je l’apprenne. Ma grand-mère m’en dévoilera plus par la suite, cela ne commençait pas très bien....

Mon histoire n’est pas unique je le sais.

Mais aux dates où l’on fête les « morts », j’avais envie de rendre hommage à celle qui m’a donné la vie au prix de la sienne.
Je suis née un trois novembre, demain c’est mon anniversaire… mais chaque anniversaire à toujours un arrière goût de mort.

Limoges 2004, sur sa tombe. Il y à une plaque où j'ai fait inscrire il y à longtemps :

Tu es morte en me donnant la vie,
mais tu vis toujours en moi.
Ta fille.



A Limoges, une jeune femme nommée Jeannine Caulier. épouse Vaquié. à sept mois et demi de grossesse, s’écroule sur le plancher de son appartement. Elle réussit à se traîner vers la porte pour appeler les voisins. Elle est transportée d’urgence à la clinique Jean Péticourt tenue à l’époque par des Sœurs.

Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir prévenu le professeur Pontonnier, dont le fils exerce à Toulouse je crois savoir. Pas faute de s’être plainte souvent, de forts maux de ventre durant sa grossesse. « Mettez-vous des bouillottes chaudes sur le ventre Madame V, ça passera ».. Ma mère, obéissante, s’exécutait !
Pas un instant l’idée d’une appendicite n’à traversé l’esprit de ce ponte ? Pas un instant il n’a trouvé suspect ces plaintes, ces douleurs ?

Ma mère et une amie :



Ma grand-mère prévenue arrive le plus vite possible au chevet de sa belle-fille. Le professeur Pontonnier à les bras ballants, il les secoue de haut en bas, catastrophé, raconte ma grand-mère dans son journal intime, il balbutie : « Il ne faudrait pas qu’elle accouche maintenant, ça la tuerait ! C’est une péritonite aigüe, on a mit des drains mais le pue ne s’évacue pas ! Il ne faudrait pas qu’elle accouche maintenant ! »
Ma grand-mère va rester nuit et jours au chevet de ma mère jusqu’au bout, pendant quinze jours.

Ma « maman du ciel » aura eut une courte vie de souffrances qui plus est : Abandonnée elle-même le plus souvent par ses parents (elle attendra en vain sa mère pendant 6 heures d’affilée sur le balcon à Paris avant de prendre le train pour Limoges pour y rejoindre mon père) quand à son père à elle, pas de nouvelles non plus.
Pendant la guerre, délaissée par une mère qui trinquait au champagne avec les allemands, affamée avec son frère Guy, elle mangera dans les poubelles. Pas besoin d’aller au Caire chez les chiffonniers, elle aussi connaitra les détritus comme subsistance, et plus d’une fois. Elle s’en confiera à ma grand-mère.
Une histoire absolument sordide, dans un contexte sordide, la guerre.
Jusqu’à ce que leur plus grand frère Jean, les retrouve et les prennent sous son aile.
Je m’arrête là dans les détails, mais c’est la première fois que je dis publiquement que ma mère à mangé dans les poubelles : Et alors ?


(Ma mère enceinte de moi, travaillant à garder des enfants à Saint Jean de Luz)
On peut cliquer pour agrandir, impressionant...

A huit mois de grossesse, les contractions se déclarent : On la transporte en salle d’accouchement : Avec des kilos de glace sur le ventre, elle me met au monde, à moitié dans les vapes.
Lorsqu’on lui annonce le sexe de l’enfant, elle exulte de joie et dit à ma grand-mère : « J’ai une petite fille ! J’ai une petite fille ! » Elle veut me prendre dans ses bras, on lui ment : « La petite est fragile, elle est contagieuse : demain ! »
En fait, c’est elle qui est contagieuse : la péritonite est brutalement devenue « gangrène gazeuse », terme de l’époque, et le lendemain, le 4 novembre, sortant du délire du à la fièvre, elle s’exclame dans un dernier sursaut d’amour et de pardon : « Oh ! Mon papa ! » et expire dans les bras de ma grand-mère.
Elle avait 19 ans et demi.

Elle voulait m'appeller Lucie, en souvenir d'elle, on m'a donné son prénom.
Ce n'était pas non plus une bonne idée, mais, bon....



J’ai été extrêmement rassurée de savoir (par ma grand-mère) que ma mère m’avait désirée : Car cela aurait pu se passer autrement si elle l’avait voulu…..
De savoir que sa grossesse n’était pas qu’un accident. En effet, elle avait connu mon père pendant la guerre, lui qui était venu d’Algérie avec ses frères pour faire cette guerre et l’avait attendu même après : elle était très amoureuse de lui.
Or ma mère était belle, grande, rousse : Ce n’était pas les prétendants qui auraient manqué ! Non, elle l’aimait.

Elle que sa propre mère lui demandait de la vouvoyer devant les autres (pour qui a lu « Dialogues avec mes parents disparus « de Pierre Zimmer peut comprendre), voir à peu près cette autre grand-mère que je n’ai pas connue (qui m’a évitée plus exactement) qui ne s’occupait que de sa beauté, ses toilettes et ses amants, et délaissait ses enfants.
Jusqu’à même être renvoyée de l’armée, il fallait le faire à l’époque… !

Ma mère sur la plage à Saint Jean de Luz avec une amie :

Alors bien sûr a commencé pour moi dès ma naissance une anorexie mentale sévère avec tout ce que cela comporte : Psy en tous genre… traitements médicaux et placements parfois dans des familles car ça n’allait pas avec ma pauvre mère (adoptive), elle-même abandonnée adolescente par sa mère (cela devait être une épidémie à l’époque), et placement dans un centre à Villars de Lans pendant 6 mois « Le petit Poucet », je m’en souviens très bien. Avec échecs scolaires à l’appui. Puis j’ai connu la névrose d’angoisse panique, massive, adulte, et après avoir été recueillie par deux amies psy, ce qui m’a évité le pire, j’ai entamé une psychanalyse (ce qui était quasi prédestiné pour moi) à Paris chez Jacques Hassoun, dont j’ai déjà parlé,

et de mon « handicap » j’ai fait un métier : De psychologue je suis passée psychanalyste pendant des années. Comme quoi…

Cette anorexie mentale m’a duré longtemps, avec des sursauts à l’âge adulte, de plus en plus espacés…
C’est la danse classique qui m’a sauvée, car à une période, je ne mangeais pas pour vivre mais pour danser….

Voilà ce qu’à provoqué, pour moi, la mort de ma mère à ma naissance, et un contexte compliqué par la suite.
Mais il y à bien pire, je le sais.
je voulais simplement parler d'elle.

Ma mère et mon père à Limoges :
Moi aussi j’ai comprit tôt que la vie est fragile, et j’ai voulu très vite me donner entièrement au Christ : ce qui ne se fit pas.
Je n’oublierais jamais ma communion solennelle qui était pour moi comme un mariage avec Jésus, un profond bouleversement, indicible…
Crise mystique qui a resurgit, adulte, il n'y à pas si longtemps, différemment, et m’a laissée épuisée, je n’aurait jamais cru que cela pourrait recommencer…

Alors quand j’ai aimé, cela n’a jamais été à moitié et bien sûr, je ne pouvais que rester sur ma faim et/ou me détruire…
J’ai toujours su qu’il y avait un absolu ailleurs, et puisque la mort m’obsédait et bien : j’ai « parlé » avec les morts… qui ne sont pas morts !

TRANSCOMMUNICATION :

Tout est arrivé en 1991.

Novembre 1991 (tiens, tiens). Nous sommes trois dans une voiture. Un ami, Jean-Luc, nous demande si nous avons vu la dernière émission Ex-Libris. Réponses négatives. Il nous fait part de l’intérêt qu'il a pris à la regarder, car il y avait une dame, nommée Monique Simonet, qui est en contact avec L’au-delà. "Il parait qu'avec un simple magnétophone, on peut enregistrer les voix des défunts!" s’exclame-t-il.

J’écoute la conversation mais je ne parle plus. J'ignorais totalement l'existence de la trans-communication instrumentale, et j'y ai cru immédiatement, peut-être parce-que j'avais déjà vécu un événement extraordinaire. Un immense espoir se leva en moi : "Oh mon Dieu! Comme j'aimerais que cela puisse m'arriver!" pensais-je, et je ne dis rien à personne.

Monique Simonet est pionnière en France en transcommunication instrumentale :



Transcommunication ( M.Simonet)
envoyé par jeffcola

Je laissais passer les Fêtes de Noël, je reculais le moment de l’expérience, car j'avais peur que "ça ne marche pas". En revenant de chez ma grand-mère, bien que ne m'étant pas encore documentée, je branchais mon micro mono. Je mis une cassette vierge, et j’appelais.. ma mère!!!.
Je ne l'ai pas eue immédiatement, mais vite!

Il est bien évident que ce que je faisais n'avait rien à voir avec la curiosité, mais que c'était un appel à l'amour. Aucune voix ne s'enregistrait, cependant, je commençais à sentir des présences dans la pièce, mais cela n'avait rien à voir avec mon expérience de 1989, comme des froissements même, presque des pas, quelque chose d'imperceptible mais réel. Je réécoutais régulièrement mes enregistrements. Je ne mettais aucun support, n'étant pas informée, et mon temps d'enregistrement était variable; Il pouvait s'échelonner de 10 à 20 minutes. Je procédais à l'intuition, et n'avais pas de casque à ce moment là, aussi, je n'écoutais pas en direct.

En fin de face B de ma première cassette, je décrétais que cela devait être identique au reste et j'entamais une deuxième cassette. Mais une voix intérieure insistait : "Ecoutes la fin de la première cassette ".

Je repris alors cette cassette et j'écoutais :

-" Papa, pourrais-tu me parler ? Pourrais-tu me donner des conseils professionnels, c'est ta fille qui te parle ".

A l'écoute, des vrombissements qui m'auraient percé les tympans s'ils avaient été des effets Larsen lors de l'enregistrement, enflaient de plus en plus. Puis, j’entendis lorsque je me levais, car j'étais agenouillée près du fauteuil ou était posé le micro et aller vers mon bureau. Les vrombissements s'estompent. On entend le léger bruissement des feuilles de papier que je trie et une voix féminine se greffe dessus. C'est celle de ma mère je pense, décédée le 1 août 1990, un peu traînante,plutôt triste comme parlant à quelqu'un d'autre, comme si elle était accompagnée, la fin de la phrase se terminant par une exclamation teintée de joie :

-"Oui... c'est Jeannine... (puis la voix s’exclame, émerveillée) ma fille!".

Le choc fut sans précédent! Le miracle était arrivé‚ oui, la voix était très nette ! Mon cœur battait. Combien de fois ais-je écouté ce message ? Bien que sachant que ce n'était pas moi, je mettais tout mon esprit critique lors de la réécoute de cette phrase venue d'une autre dimension. Mais c'était à chaque fois l'éblouissement, l'éternité était là, dans cette cassette, dans cette petite phrase. J'avais eu raison de ne pas douter, raison de persister. l'au-delà me voyait, m'entendait, me répondait, et c'était l'amour de ma mère! Bien sûr ce n'était pas un grand message, mais c'était déjà un début. J'étais exaltée, mais ne parlais de cette expérience qu’à un ami.

Quelque chose me troublait : Et c'est la seule fois où j'ai volontairement "triché" en TCI : La voix était si nette que j'ai affirmé que c'était celle de ma mère.. adoptive. Car en fait je n'avouais pas que je ne reconnaissais pas sa voix......
Cette voix qui disait :

"Oui.... C'est Jeannine!...Ma fille!" (là, exclamation)
C'est à dire : "Oui, c'est moi (temps de silence) et exclamation : ma fille!"
Alors que j'avais comprit : " Oui.. C'est jeannine ma fille !"

Mais pourquoi n'ais-je pas réalisé ce qui me parait maintenant être une évidence : C'est Jeannine, "ma maman du ciel" comme on m'a apprit à l'appeler... C'est pour moi tellement évident, des années après!

J'eu un deuxième message d'elle, que le Père Brune à écouté (toujours sans support).
Je faisais très peu de TCI, ce qui va changer l'année d'après, à la mort de Miguel.

Comme je n'avais plus de message, je demandais :

-"Suis interdite de vous parler à nouveau ou est-ce que vous me ménagez vraiment?"

Au bruit de la porte de la salle à manger que je pousse un peu la voix revient, plus nette encore, vraiment très belle :

-"Non ma fille" elle répond aux deux questions...!Là j'ai su tout de suite que c'était elle!

Quelques années après (entre temps j'aurais lu les livres de Monique Simonet)je ferais consolider le tour de sa tombe à Limoges et l'embellirais avec du gravier Blanc.
Support langues étrangères, je parle à quelqu'un d'autre et une voix féminine surgit et dit :

-"Merci!" Sur le moment je suis surprise puis je comprends! Quelle émotion!

Je voudrais te dire maman que je t'aime, tu le sais, et que je t'ai toujours aimée. Comme j'aime mes parents. Je sais qu'on se rencontrera, qu'on se retrouvera et que tu me prendras dans tes bras.

Je n'ai pas l'impression d'avoir fait grand chose de ma vie, je le pense vraiment, à part de témoigner de la TCI, mais je me demande si cela n'est pas aussi un cadeau de ta part. Bref, je ne peux pas dire que je sois particulièrement fière de moi, à part quelques "trucs" (rires)
Je sais que ton amour est immense, et que tu m'as pardonnée lorsque de ce don précieux de la vie je n'ai parfois plus su l'apprecier, par découragement...

Je me rends seulement compte qu'à ces moments de ma vie, de là où tu es, tu as du souffrir de me voir comme cela, et cela me fait mal.
Pardonne-moi...

Mais cela m'aura apprit le sens de la souffrance, et plus de simplicité, je n'emploie pas un autre mot, trop galvaudé.

Je pensais dernièrement, au sujet de certaines épreuves, car je ne suis pas pour la souffrance à outrance : "Peut-être que si je n'avais pas été confrontée à ces épreuves, je ne serais pas devenue celle que je suis". Jamais je n'avais pensé comme cela avec une telle évidence.
Sous entendu que la souffrance est un implacable révélateur, et ne nous fait pas devenir autre que celui ou celle que nous sommes en puissance.

Et celle que je suis, c'est une partie de toi, maman

Ton coeur de mère a immédiatement répondu à mon appel en 1992, et je ne l'avais pas comprit!

Un jour viendra.....

Même si je ne suis pas pressée... Tu vois, j'ai progressé...

Ajout : Le Dim 9 nov 2008
Quelqu’un vient de me faire remarquer que je devrais rectifier ma réflexion : « je n’ai pas fait grand-chose de ma vie.. à part quelques trucs » cela pour l’honneur de ma mère. Moi aussi je n’étais pas trop contente en écrivant cela car j’ai toujours tendance à me dévaloriser. J’explique cependant que bien sûr, j’ai souvent fait du « bien » je n’aime pas trop cette expression genre « Béa ». J’ai souvent eu le cœur au bord des lèvres.
Mais je n’aime pas parler du bien que je fais, car j’ai depuis très longtemps remarqué que lorsque que quelqu’un fait du bien, on le félicite comme si c’était un exploit, comme s'il était un héros, alors que cela devrait être naturel, alors que le Mal parait lui, naturel…
Or j’ai souvent passé sous silence, à part vis à vis de quelques intimes et encore…ce que je faisais pour quelqu’un d’autre…
Je n’aime pas trop laisser parler l’EGO avec un grand E.
Non, en écrivant cela : Je voulais dire, faire quelque chose de plus grande envergure, comme certains (je me comparais) et c’était stupide.
Donc ma maman sait : Elle peut quand même être fière de moi !
De plus, j’ai aimé, « avec toute l’exigence de l’amour de Dieu » m’a dit un jour un prêtre, c'est-à-dire que j’ai beaucoup donné/reçu/payé… Je reparlerais de l’amour, bien sûr !

Et avec une énergie qui n'est pas celle du désespoir mais de l'amour, voici la mama :

A toutes les mamans....


P.S. Selon mon inspiration, des messages de transcommunication instrumentale ou autres phénomènes paranormaux peuvent être glissés dans d’autres sujets ici n'ayant pas de rapport directs avec ce thème. Il peut donc y avoir des messages de l’au-delà ailleurs que dans les sujets annoncés paranormaux…

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